Chargé de l'enquête autour d'une mort sanglante, l'inspecteur Eric Mason est persuadé que le crime est l'?uvre du redoutable Jigsaw. Capturé sans difficulté, ce dernier cache toutefois un plan machiavélique. Il révèle que huit victimes sont actuellement en train de lutter pour leur vie et que c'est maintenant au tour de l'inspecteur Mason d'entrer dans le jeu.
Obsédé par l'idée de vouloir enseigner à ses victimes toute la valeur de la vie, un tueur en série sadique et totalement dérangé kidnappe des personnes dont la moralité est douteuse et les force à s'engager dans des jeux ignobles au péril de leur vie. Confrontée à des choix impossibles, chaque victime doit lutter pour reconquérir sa vie, au risque de mourir au milieu de la partie.
La saison 2 de l'excellente série de Piller & son est une suite ininterrompue de variations autour des visions et des flashs d'un homme-caméra, le médium Johnny Smith. Ce n'est pas la première fois que je vante ici les milles et une vertus de cette série : acteurs surdoués, photo somptueuse, B.O en or (générique reprenant un titre rare de Jeff Buckley, New Year's Prayer, et une musique originale à pleurer de Roy Hay), et enfin intrigues en abymes qui ne cessent d'explorer les talents de visionnaire du héros. Ici le bullet time n'est pas une coquetterie numérique grotesque, mais un véritable procédé narratif visuel, faisant du téléspectateur un témoin occulaire privilégié, la narration n'en est que plus labyrinthique, les voies du scénario bifurquent et vont tout droit là où l'on ne les attendait pas. Les visions de John Smith influent sur ses pulsions et inversement, ce n'est pas un magicien encore moins un sorcier, c'est un homme cognitif, l'anti-Oedipe. Et voilà peut-être son drame : à tout voir on ne vit plus. Pour preuve, le splendide épisode Déjà Voodoo (inspiré d'Un jour sans fin) où notre homme sait déjà que s'il embrasse la magnifique Reiko Aylesworth (déjà vue dans 24) à la fin de la soirée, elle finira indibutablement par mourir d'une balle dans le ventre, ou bien par gâcher sa vie. Alors, et c'est ce qui fait de Mr Smith un héros : il préferra suivre ses visions, restreindre ses pulsions, ne pas la toucher... comme une caméra, comme un film : on regarde mais on ne touche pas... La laissant partir, il lui sauve alors la vie. Ainsi tel Orphée qui s'est retourné et qui a perdu son Eurydice : il a vu, vu l'invisible éclatant, le rien sublime, la lumière derrière l'écran. Maudit privilège du visionnaire dans un monde d'aveugles et de sourds.
Lorsque son meilleur ami, Charles Fiske, trouve la mort au cours d'une enquête sur une mystérieuse île Shadow Island, située au large de Boston, le détective Edward Carnby (Christian Slater) décide alors de continuer l'enquête. Sur place, il fera équipe avec Aline Cedrac (Tara Reid) une jeune anthropologiste spécialiste des langues anciennes car l'objet de l'enquête est de retrouver de mystérieuses tablettes gravées d'inscriptions non déchiffrées à ce jour.
Three seasons into it, The Dead Zone has cemented its stature as one of television's most ambitious and compelling series, combining action, psychological drama, and elements of sci-fi and the supernatural in twelve episodes contained on three discs in this handsome, bonus-filled package. Based on Stephen King's 1979 novel (later a feature film starring Christopher Walken), The Dead Zone was adapted for TV by Michael and Shawn Piller, with actor Anthony Michael Hall (previously best known for his roles in the mid-'80s hits The Breakfast Club and Sixteen Candles) as star, co-producer, and occasional director. Hall ably plays Johnny Smith, who has recovered from a six-year coma to discover that he now has some rather remarkable powers; merely by touching other people, or objects touched by others, Smith has visions that illuminate events that have happened, will happen, or that are taking place elsewhere. He has put this ability to use as a psychic, working with the police in the Maine town in which the stories take place.
Understanding all of this may take a while for the uninitiated; not only does Smith jump both forward and back in time, but he often sees himself in his visions, and sometimes we're watching the Johnny of the present with the one from the past onscreen at the same time. The Dead Zone has a lot on its hands in each episode, with a stand-alone storyline (a Rep. Gary Condit-Chandra Levy takeoff in Finding Rachel, a Columbine-esque school shooting in Cycle of Violence) balancing the ongoing matter of Smith's visions--how they came to be (Collision details the car accident that led to his coma and, eventually, his powers), how to interpret them, and whether they're a blessing or a curse. All of that is mixed together with his strange new personal life (his pregnant fiancé, played by Nicole De Boer, married the local sheriff while Johnny was out of commission). And then there's the overriding series theme, which is heavily featured in the first two episodes of this season but mentioned only occasionally thereafter: Armageddon is coming, Johnny alone lives through it, he might even cause it? and maybe he's the only one who can prevent it.
It's a tough act to pull off week after week, but while the show occasionally seems about to collapse under its own weight, it mostly succeeds, albeit without a shred of humor and an ultra-serious, portentous vibe that gets a little tedious. At the very least, The Dead Zone makes for consistently intriguing viewing. The generous bonus features include commentary (by Hall and many others) for every episode, three featurettes, and more.
La réputation des joueurs de la légendaire équipe de hockey LES BOYS a traversé les frontières et atteint la France, où les champions sont invités à participer au Tournoi international de hockey amateur de Chamonix. Ravis et sûrs d'eux, les Boys atterrissent dans cette petite ville des Alpes françaises où ils se mesureront aux meilleurs hockeyeurs amateurs du monde. Mais leur enthousiasme est vite douché par la ténacité inattendue de leurs adversaires dont ils croyaient ne faire qu'une bouchée. Mais ces durs épreuves en sol étranger donneront la chance à chaque joueur de prouver la véracité de la devise de l'équipe : Un Boy ça n'abandonne jamais!